L’association Baraka Yetu dit BANA BANKAR a, ce lundi 14 avril 2025, proposé auprès des services de sécurité, une piste de solution pour mettre fin aux cas de vols à mains armées orchestrés par les hommes non autrement identifiés depuis plusieurs jours.
Cette piste de solution est celle des bouclages dans les maisons de la population pour dénicher les armes cachées, et établir les responsabilités des propriétaires.
Dans une interview accordée à FIZINEWS24.INFO, le président de cette association M. Delo Lokole Ekyamba Alias Southien a d’abord salué les efforts des forces armées de la République démocratique du Congo FARDC et les Wazalendo pour leur détermination dans la lutte contre l’insécurité dans cette entité, devenue une monnaie courante dans plusieurs autres endroits.
« Nous sommes dans la ville de Baraka qui veut dire Bénédiction. Ici règne la paix. Nous remercions notre armée qui est resté dynamique dans le cadre de la défense de notre patrie, et la protection de civils et leurs biens. Il en est de même pour les Wazalendo qui ont décidé de se sacrifier pour la terre de nos ancêtres, nous les remercions abondamment. Cela étant, le vol n’est pas bon. Nous condamnons tout acte de vol qui se passe dans notre ville. » a-t-il dit.
Le numéro 1 de cette structure n’a pas cessé de plaider au sein de services de sécurité de procéder aux opérations de bouclage, pour récupérer les armes détenues illégalement et qui opèrent régulièrement pour le vol.
« Nous avons récemment lu un communiqué stipulant que les services de sécurité en collaboration avec les Wazalendo feront des bouclages maison par maison pour dénicher les armes qui opèrent frauduleusement. La majorité de ceux qui intègrent dans cette manigance sont ceux qui ont fui les prisons, voilà la raison de la multiplicité de cas de vols dans notre ville. » a-t-il renchérit.
La situation sécuritaire dans la ville de Baraka laisse à digérer ces derniers temps, cela suite à plusieurs perturbations dûes parfois aux tirs de balles en l’air, causant des dégâts matériels voire humains.
Rédaction