L’insécurité est loin de dire son dernier mot dans la ville de Baraka dans la province du sud-kivu où il ne se passe plus de deux jours sans qu’on y enregistre un cas de mort dont les auteurs demeurent toujours inconnus.
La soirée de ce Mercredi 12 juin 2024 un corps sans d’une personne a été retrouvé près de cimetières de Monge monge dans la commune de Katanga.
Selon nos sources, il s’agit de Monsieur sengiyunva jean-Marie âgé d’une vingtaine d’années,de la nationalité Burundaise un motard de son état qui faisait ses activités de transport en commun dans la ville de Baraka.
Celui-ci a disparu depuis le lundi dernier pour se retrouver mort et sa moto emportée par des personnes inconnues.Suite de cet incident,les migrants économique burundais vivant dans la ville de Baraka et de ses environs,plaident pour leur sécurité car selon eux ils font objets de plusieurs menaces.
« C’est depuis la nuit du lundi que nous avons été alertés que Monsieur jean-marie n’a pas déposé la moto chez-son patron comme d’habitude est que sa destination restait inconnue. arrivé ce matin,nous avons appris qu’il y a un corps sans vie à Mongemonge.quand nous nous sommes rendu sur le lieu,nous avons trouvé que c’était notre frère Jean-Marie.mais selon les informations que nous avons,la victime s’était dirigé vers Katanga avec les clients et se sont eux que nous soupçonnons avoir tué notre frère car ils ont emporté même sa moto.comme son corps était deja dans un état de décomposition,les services de sécurité nous ont autorisé de l’enterrer » a renseigné un sujet burundi rencontré au parking de Baraka.
c’est dans la soirée de ce mercredi que des personnes qui enterraient aux cimetières de Mongenge étaient premières à alerter sur la présence de ce corps sans vie dans cet endroit.alors que c’est ce matin que les services de sécurité seront rendus sur leur pour un constat.
Rappelons que cette mort est signalée quelques jours après celui d’un autre sujet burundais qui a été tué à Kafulo dans le secteur de Mutambala dans une affaire soupçonnée de la sorcellerie.
La rédaction