Arrêté le 10 mai 2024 sur ordre d’un officier de la police nationale congolaise ( PNC) dans la ville de Baraka, Province du Sud-kivu dans l’Est de la République Démocratique du Congo, le Directeur des productions de Fizinwes24.info aussi correspondant de plusieurs médias à l’intérieur du pays , monsieur Luc lukandjila a été libéré mercredi 29 mai 2024 par le parquet près le tribunal de paix de fizi qui a considéré son effraction injuste .
Le confrère considère son arrestation d’un montage d’une effraction nommée de viol de l’enfant d’une autorité policière à Baraka, difficile pour lui de savoir la vraie raison de cette histoire qui s’est conclue par l’arrangement à l’amiable entre deux familles aussi paiement d’une amande .
» J’aimerais d’abord vous signifier qu’une vraie effraction de viol ne pas taxée d’une quelconque amande plutôt la plaine aussi l’ arrangement à l’amiable est strictement interdit par la loi congolaise , les juristes maîtrisent cela puisque nous autres , c’est qui avait démontré qu’il était un dossier vide devant la justice. Le Dieu des innocents existe » , a dit Luc lukandjila.
Et d’ajouter : » qu’on se demande quand même , comment est ce qu’on peut arrivé à violés une fille dans un hôtel deux (2) messieurs sans que le gérant qui livre des chambres à ses clients ne soit pas au courant ? Pourquoi on n’a pas poursuivi la deuxième personne ( homme) aussi le gérant si cela serait vraie ? , outre Je suis à Baraka depuis le mois de mars jusqu’à ce mois de mai,comment un acte qu’ils considèrent du 06 avril que je soit arrêté le 10 mai ? » , S’interroge t-il.
Ce jeune journaliste félicite la sagesse manifestée par le commandant district de la police nationale congolaise PNC – Fizi, le Colonel Malumba dans ce dossier, aussi des autorités pôlitico-administratives Administratives , c’est notamment le maire de la ville de de Baraka Monsieur Jacques M’mbocwa Hussein,les présidents des Bureaux de la société civile de Baraka et Fizi, le député pronvincial Alimasi malumbe ,ses confrères Journalistes de Baraka et d’autres étendus du pays pour leurs soutiens, son avocat judiciaire maître Alfredy Wilondja Tundula, les jeunes surnommés Bana Bankar, la Fondation Louise Munga (FONDALMU), l’ingénieur Dalton Kasukulu,alikilimali selemani chef de la CNSS antenne de Fizi y compris les membres de sa famille et autres personnes de bonnes foies qui ont apporté leurs soutiens matériels, financiers aussi Morals pendant de près et de loin pendant son moment de souffrance.
« Je garde un seul message de la part de l’autorité policière de fizi que je salue en passant celui de dire qu’il ne trompera jamais un jour sa conscience. Dans ce dossier tout au début il conseillé que ça se termine bonnement en famille non à la police et à la justice c’est après quelques contradictions ressenties des témoignages reçus. Voilà un bon parent et un modèle. Je condamne fortement l’agression de la police au jour de mon arrestation, un Présumé auteur d’une effraction ne pas du tout auteur , les deux personnes ne doivent pas être maltraitées au même diapason. c’est passé mais ne pas du tout bon dans un pays où le chef de l’Etat prône l’Etat de droits « , indique le D.P de Fizinwes24.info.
A la question de savoir comment il a senti la vie du cachot , durant ces trois (3) semaines, ce collège témoigne rien que de la souffrance.
» C’est regrettable sentir la souffrance a partir du cachot avant même la prison. Le cachot ou la Prison ne sont pas des endroits propices pour des humains, certes sont des maisons des corrections mais pour notre cachot d’ici il ya des risques même d’y obtenir des maladies sanitaires pourtant la vie est sacrée pour tout le monde. Dans ce cachot pas des médicaments pour détenus , pas de l’électricité , de l’eau aussi des nourritures réservés aux détenus , l’environnement est bizarre , allez un jour regarder les toilettes pour les détenus vous aurez pitier de ces citoyens« , regrette ce journaliste.
Signalons que, ce même mercredi, Procureur de parquet près de tribunal de Fizi avait libéré au moins cinq (5) détenus arrêtés et auditionnés par des OPJ de la PNC pour des dossiers qu’il a qualifié moindres alors certains parmi-eux ces avaient déjà passé plus de trois (5) jours dans le cachot.
Rédaction
