Une scène malheureuse s’est produite au conseil supérieur de la magistrature, les nouveaux candidats retenus lors du concours récent, s’inquiètent du fait de voir les candidats malheureux être frauduleusement maintenus dans la course vers la nomination au préjudice ayant satisfait au dit concours.
L’ Arrêt sur image démontre l’identité d’un candidat malheureux qui se trouve miraculeusement dans la liste des candidats ayant passé au contrôle physique. Et pourtant, celui-ci ne figure pas dans la décision portant publication de 5000 candidats retenus à l’issu du concours de recrutement, moins encore, sur les décisions portant désignation de 2500 candidats magistrats à proposer à la nomination en 2023 moins encore en 2024, plus grave encore son nom n’est même pas visible sur la liste des réservistes rendue publique par le conseil supérieur de la magistrature.
Mécontent de ces actes ignobles et anti valeurs, certains candidats victorieux se sentent en Insécurité du fait que leurs noms risquent de tomber au profit des candidats malheureux.
D’après nos câbles sûrs, joints par notre rédaction, ce jeudi 15 décembre, le susdit monsieur Lukamba wa Lukamba Célestin un des candidats malheureux miraculeusement introduit dans la liste des candidats à succès ayant suivi leur cursus académique à l’université officielle de Mbujimayi UOM, au n°20, en usurpant le n° n°346 sur la liste des candidats alignés pour 2023 au préjudice de madame Féling ,alors que ce fraudeur n’a jamais satisfait au concours de recrutement.
Il sied de signaler que, la fraude, la corruption tente d’exacerber dans les différentes institutions de la République démocratique du Congo.
Certains candidats ayant satisfait au concours s’en tordent les méninges, et s’interrogent sur ces manigances qui s’observent au sein de cette structure.
« Ce candidat et tant d’autres comment ont-ils réussi à briser les verrous et se retrouver à quelques doigts de la nomination alors qu ils n’ont jamais satisfait au concours ? Qui sont les agents contrôleurs qui ont facilité ces magouilles ? Y a-t-il des agents corrompus au conseil supérieur de la magistrature ? Que fera le conseil supérieur de la magistrature après ce constat le déshonorant ? Quelle justice attendons nous des magistrats irrégulièrement recrutés ?
Que dirons nous encore ? Si non ce processus de recrutement est émaillé de la fraude , des injustices, du favoritisme, la méritocratie étant sacrifié sur l’autel du clientélisme. Le conseil supérieur de la magistrature contacté ne répond pas au téléphone, le droit de réponse lui est réservé s’il l’estime nécessaire mais à tout jamais le public a besoin d’ être fixé » explique un des candidats ayant satisfait au concours.
Frank Kalonji