Le notable de l’espace Baraka-Fizi, L’honorable professeur Néhémie Mwilanya wilondja s’est dit être profondément touché par les intempéries survenues en date du 20 décembre 2023 dans la ville de Baraka suite à une pluie diluvienne qui a causé des morts et des pertes de plusieurs biens de valeurs dû aux inondations après les débordements de rivières .
Cet élu de Fizi et membré du front commun pour le Congo (Fcc)à travers son porte-parole Monsieur Mkangya Nyamacabo alias Microbe, a présenté ses condoléances les plus émues à toute personne affectée par cette catastrophe naturelle tout en les appelant à la patience car il partage la même souffrance avec les victimes.
Selon lui, une assistance en Provence du professeur Néhémie Mwilanya et l’ex-dircab de l’ancien président de la République démocratique du Congo Joseph Kabila, est en route et bien sera à Baraka pour être distribué aux sinistrés de ses inondations à travers le compagnons de Néhémie pour la paix et le développement ( CNPD) .
« C’est avec l’amertume que nous avons appris les morts et autres dégâts matériels dûs aux inondations dans la ville de Baraka et nous comme organisation CNPD, nous présentons nos condoléances aux victimes.alors, étant soucieux de sa population, le professeur Néhémie Mwilanya ne peut rester calme face à cette situation. même s’il est hors le processus électoral mais comme un grand leaders,il se bât avec le peu qu’il a pour assister ces victimes. Alors,nous connaissons qu’il y a eu des agents du CNPD qui sont passés dans des quartiers touchés pour l’enregistrement des victimes et tout Celui qui a été enregistrés sera assisté l’essentiel est de rester calme » a-t-il dit
Cependant, il faut rappeler que suite aux débordements des rivières dans la ville de Baraka en date du 18 novembre 2023, 5 personnes dont tous enfants et une dizaine des blessés ont été enregistrés dans la ville de Baraka où les quartiers les plus touchés sont ceux de la commune de Kalundja et Mwemezi dans la commune de Baraka centre où des centaines de familles vives sans l’abri.
La rédaction