L’Union chrétienne pour le progrès et la défense des droits humains UCPDHO en sigle en collaboration avec la coalition mondiale contre la peine de mort ont célébré cette journée internationale ce jeudi 9 novembre 2023 dans la ville de Baraka,la province du Sud-kivu.
C’est sous le thème » la peine de mort une torture irréversable » que cette journée mondiale célébrée 10 octobre de chaque année a été célébré au monde entier.
Selon le coordinateur de l’UCPDHO justifie ce report par un problème logique qui a fait que cette dernière soit célébrée en date du 08 Novembre 2023 au lieu de 10 octobre comme prévu chaque année.
Dans le cadre de cette célébration de la journée mondiale de lutte contre la peine de mort, cette organisation dont sociege social est situé dans la ville d’uvira a organisé à Baraka une conférence débat sur les mécanismes de l’abolition de pleine de mort dans la salle de réunion INPP avec les acteurs de la société civile et sécuritaires.
Monsieur Daniel Mutambala,le coordinateur de l’UCPDHO précise que cette activité avait comme objectif discuter ensemble avec les acteurs de la société civile, l’armée et la police sur la peine de mort et ses inconvénients car c’est une peine qui viole le droit humain.
« Notre activité était sur la lutte contre la peine de mort.c’est toute sa dernière fois que cet événement soit organisé ici à Baraka. Nous avons été ici pour discuter avec les juristes,les acteurs de la société civile sur le mécanisme d’abolition de peine de mort et leurs montrer que notre pays a adhéré et signé les conventions contre cette peine. Cette journée est célébrée chaque le 10 octobre mais nous nous l’avons fait aujourd’hui pour un problème logistique.nous devons tous combattre la peine de mort car c’est une violation de droit à la vie » a-t-il.
Une satisfaction de la part des participants qui se sont dit s’engager dans cette lutte mondiale.
« J’ai participé dans cette activité par ceque j’avais l’envie de savoir comme se font des pénalités dans notre pays. Par apport à la peine de Mort,j’ai retenu qu’elle n’est pas autorisée par la constitution.quand quelqu’un est tué à causé de son infraction, celui-ci ne peut plus se corriger comme il est mort.aussi il arrive de fois qu’une personne est condamnée mais après le tribunal constate son innocence et elle doit être libérer alors d’elle était déjà tuée,comment sera la Suite » a dit un participant
De son côté Maître Kitandala Santos,l’un parmi les facilitateur lors de cette conférence débat, a expliqué les conséquences de cette peine dite de Mort, tout en demandant aux parlement à voter une loi sur la suppression de la peine de Mort,car selon lui,c’est une peine qui viole le droit humain car la vie humaine est sacrée.
« Étant sacré,aucun humain n’a le droit de ôter la vie à quelqu’un. Condamner une personne la peine de mort vraiment une violation de droits humains car elle irréversible.l’anne 2023,nous pays a signé des conventions suspendant cette peine. C’est-à-dire qu’on ne doit plus tuer que par cequ’il a commis une infraction mais nous voulons qu’on se limite aux conventions mais notre parlement doit voter une loi qui va supprimer cette peine de mort car la vie est sacrée » a-t-il insisté.
Notons cette conférence débat a été animée par Maître Kitandala Santos et Maître Jacques Ali ou celui-ci a expliqué aux participants les différentes étapes sur l’évolution du droit selon les époques y compris la loi mosaïque ainsi que le code d’hamorabie.
La rédaction.
