Les pêcheurs qui exercent leurs activités de pêche dans le lac Tanganyika dans les plages de Kitete,kokya et sikutumwa une localité située dans le groupement Balala-sud, secteur de Mutambala en Territoire de Fizi, au sud-kivu ,se disent menacés par les Militaires affectés dans le milieu qui ravissent les biens de civils notamment des poisons et des petites marchandises.
Les victimes de ces actes barbaries sollicitent l’intervention des autorités militaires afin que ces derniers soient remis en ordre car la Mission d’un militaires et de protéger le civil et ses biens.
Selon certains pêcheurs contactées par Fizinews24.Info depuis Kitete,sous l’anonymat,ces derniers précisent que les militaires arrivent dans des plages avec motif de demander les poissons qu’ils appellent » la part des militaires » c’est sous ce motif que ces derniers se permettent de ravir les Poissons ainsi que les marchandises des petits revendeurs qui revendent les marchandises dans ces plages.
« Hier, les gens ont été ravies leurs biens.nous ne connaissons pas le pourquoi ces militaires peuvent afficher ce comportement qui n’honore par l’image de notre armée.ils nous dix qu’ils viennent demandé la taxe.la question que nous nous demandons est que, s’ils n’ont que besoin des poissons pourquoi ravir au lieu de nous demande dans la paix. vraiment nous avons besoin de la sécurité,les autorités militaires doivent s’impliquer pourque cette situation trouve une solution.si le marché jtm est ravitaillé en poissons au niveau de Baraka c’est grâce à Nous.et si nous décidons de suspendre nos activités de pêche où est ce que les habitants de Baraka auront les poissons.ils nous ravissent les poissons, l’argent et les boissons des petits revendeurs » a dit un pêcheur.
Notons que pour suite à cet alerte,la rédaction de Fizinews24 a tenté de contacter les autorités militaires dans la localité enfin de savoir d’elles sont au courant de la situation est que la décision prise par rapport à cet comportement affiché par ces militaires, très malheusement nos efforts n’ont pas abouti.
Dossier à suivre.
La rédaction.