Le conseiller en charge de communication et médias au sein du conseil urbain de la jeunesse dans la ville de Baraka, M. Luc Lukandjila, recadre le président de cette structure M. Patient Rafiki face à sa communication contradictoire qui s’est basée dans le sens d’une accusation contre les organisateurs de la journée ville morte de ce lundi 12 juin 2023 dans l’espace Baraka-Fizi sur l’utilisation des mineurs au cours de cette action.
La cellule de communication de cette structure de la jeunesse dit être surprise de voir le numéro 1 reagir au nom de la structure alors que sa déclaration est individuelle.
Dans un entretien avec la presse en étant en dehors de la ville de Baraka, ce jeune journaliste rédacteur et communicateur de ce conseil appelle M. Patient Rafiki à ne pas continuer à emballer toute une structure composée des intellectuels à sa tête dans leurs conflits internes avec certaines personnes dans la ville, aussi à bien respecter les rôles des autres membres, Ce qui a toujours été l’un des griefs à sa charge souvent dans plusieurs mésententes avec ses collègues membres du bureau de coordination de la jeunesse en ville de Baraka.
« C’était une discussion sur les réseaux sociaux dans notre groupe de la jeunesse ville de Baraka, les images, textes présentant l’état de lieu du déroulement de l’activité de nos amis de la société civile qui ont organisé une action citoyenne dénommée ville morte. C’est à travers une image vidéo et photo des enfants qui venaient d’être publiés par l’un de nos membres dans ce groupe que monsieur Patient Rafiki à considéré comme source sans vérification ni consulter moi qui suis le chargé de communication de notre bureau, il a vite écrit un texte de dénonciation puis, le secrétaire reporter comme c’est lui qui gère le compte twitter a aussi twitté « , déplore Luc Lukandjila.
Et de poursuivre :
« L’étape le plus important d’une information ici n’a pas été respectée, celle de la vérification des faits. Plus grave c’était sans consultation de nous qui gérons la communication, il doit apprendre à respecter les rôles des autres dans une administration. Ses mésententes avec les membres des bureaux de Coordinations de la société civile de Baraka sont connues et n’ont pas commencé aujourd’hui, qu’ils gèrent en frères leur problème. Mêler dans ça toute une structure qui est administrative et dont chacun est arrivé à son poste par voie électorale c’est aller au-delà de ses limites« , a-t-il poursuivi.
Pour rappel, la société civile de Baraka à travers ses deux bureaux de coordinations dont celle de la Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC) que dirige monsieur Jacques Abungulu et forces vives de M. Albert Etunda Maisha, a décrété une journée ville morte ce lundi pour condamner la présence de 12 officiers civils de la police judiciaire (OPJ) au parquet pres le tribunal de paix de Fizi de Fizi et demander la suppression des antennes de ce dernier instaurées dans plusieurs villages du territoire de Fizi en violation de la loi en la matière. Les organisateurs de cette action citoyenne considèrent cela d’une tracasserie à l’endroit de la paisible population.
Dans son message à la presse , monsieur Jacques Abungulu dit avoir regretté de voir une personne se lever et donner un faux message puis le médiatiser. Pour cet acteur de la société civile, il y a une main noire dans cette communication de monsieur Patient Rafiki.
La Rédaction