Dans le cadre de son projet « TUNAWEZA » avec l’appui financier et technique du pilier stabilisation et résilience du Programme des Nations-Unies pour le développement PNUD en sigle, le media Habari RDC a ouvert ce vendredi 03 Février 2023 un atelier de formation de trois jours à l’intention des journalistes de médias en ligne et de la presse locale, et d’autres couches sociales dans la salle de réunion Maman Nyashinde située dans le quartier Majengo 2, commune de Baraka Centre en ville de Baraka sur le thème « les modes de communication digitale et ses risques ».
À en croire Monsieur Elvis Katsana, facilitateur de la première journée de formation et coordonnateur régional de Habari RDC renseigne que l’objectif de cet atelier atelier est de renforcer les connaissances des participants sur comment utiliser les plateformes digitales d’une manière responsable et les initier également aux vérifications des informations en ligne (Fact Checking).
La premiere journée de formation a été consacrée à la prise en main et animation des plateformes digitales de communication sociale où les participants ont été longuement capacités sur la création et la sécurisation de leurs comptes mail, Whatsapp, Twitter, Facebook, Instagram… Et même l’utilisation de la vidéo conférence via les programmes Zoom, meet et autres.
Le projet TUNAWEZA est exécuté par Habari RDC sur l’axe Baraka-Bibokoboko en collaboration avec la Radio Mahendeleo, l’UGEAFI (Union des groupes d’études et actions pour le développement de Fizi-Itombwe et la SVH (Solidarité des volontaires pour l’humanité).
Les participants dans cet atelier de formation qui sera clôturé ce dimanche 05 Janvier sont entre autre les journalistes de medias en ligne et de la presse locale, les acteurs de la société civile, les transporteurs, les membres des associations des jeunes, les représentants des confessions religieuses…
Pour rappel, les participants ont été demandés de tout faire pour lutter contre les discours de haine et les fausses nouvelles qui tendent à des manipulations.
Bahome Sadi François
