Ces derniers temps,la ville de Baraka, situé dans la province du sud-kivu,en l’est de la République démocratique du Congo au nord du lac Tanganyika,est devenue un champ des catastrophes naturelles.
Baraka c’est une ville à forte densité de population ,car il s’agit d’une ville portuaire, historique et touristique.
Elle connaît de plus en plus des phénomènes naturels désastreux.Ces désolations sont causées par des catastrophes écologiques entraînant notamment la destruction de l’environnement et d’énormes dégâts matériels. Le phénomène « victimes environnementales , écologiques ou climatique » est devenu fréquent.
En effet,Georges Alimasi, spécialiste en gestion rationnelle et durable des ressources naturelles et chercheur indépendant en gestion de l’environnement confirme selon les résultats de la recherche sur terrain et plusieurs entretiens sûrs avec certains responsables des différents services étatiques y compris le service technique de l’environnement où le coordinateur et chef du Bureau urbain de l’environnement Monsieur ALEXIS MUSAMBYA Ibaci ,les estimations relatives à l’accroissement du nombre de victimes des catastrophes naturelles et du réchauffement climatique sont très nombreuses et inquiétantes à Baraka.
Par conséquent, la dégradation de l’environnement constitue une cause très majeure des catastrophes naturelles dans la ville de Baraka.
Plusieurs quartiers endommagés par les glissements de terrain, les inondations, l’éboulements,… en raison des têtes d’érosion dans plusieurs coins de Baraka.
Comme le souligne le coordinateur et chef du bureau de l’environnement Monsieur ALEXIS MUSAMBYA Ibaci, dans son rapport de visite guidée du 10 février de l’année en cours.
cette visite guidée avait comme objectif de définir les grandes orientations stratégiques de protection de l’environnement et enfin, de prévenir les risques et lutter contre toutes formes de dégradation du Sol (Érosion Hydrique).
Étant donné que cette situation catastrophique est lourde des conséquences et nécessite la mise en œuvre des solutions efficaces et durable. Le fait d’y remédier apportera des solutions à certaines problématiques écologiques.
Le quinzième(15) principe de la Déclaration de RIO de Janeiro sur l’environnement et développement en 1992, affirme que » pour protéger l’environnement, des mesures de précaution doivent être largement appliquées par les Etats selon leurs capacités »
Georges Alimasi spécialiste en gestion rationnelle et durable des ressources naturelles et chercheur indépendant en gestion l’environnement a proposé des mesures ou solutions nécessaires suivantes dans cette étude pour lutter contre les catastrophes naturelles.
Il s’agit de;
« –La création de couloir de sécurité contre l’incendie,
-Plantation des bambous et roseaux tout au long
-Faire le Reboisement
-Faire la canalisation d’évacuation d’eau vers le lac Tanganyika
-Installation de murets sur les endroits menacés par d’éboulement
-L’autorité urbaine (Maire de la ville) de faire les démarches des négociations aux différents chefs coutumiers et aux chefs des villages pour la délocalisation sans condition des personnes victimes d’inondations,…
Car l’article 47 du journal officiel de la RDC portant principes fondamentaux relatifs à la protection de l’environnement stipule que « Toute personne a le droit de respirer un air qui ne nuise pas à sa santé » propose-t-il
Bienvenu ELOCO W’APUTE